Jean-Yves Coupin s’impose sur Narbonne vieux

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Nord. Nouveau venu sur les concours internationaux, Jean-Yves Coupin (Wasnes-au-Bac) s’impose en vieux et enregistre une belle réussite en 1 an.

Vendredi 28 juillet, 6h45 : l’étape internationale de Narbonne est lâchée (la vidéo du lâcher est sur le site Internet de La France colombophile). Les tricolores sont en nombre sur la ligne de départ : plus de 5.300 pigeons dont 2.610 vieux engagés par 462 amateurs. Oui, les concours de grand fond joués avec le Nord de l’Europe continuent d’attirer les foules. À l’inverse de ce qui se passe en Belgique, ces épreuves séduisent à chaque fois toujours plus de Français. Les concours internationaux ne sont plus réservés à une « caste » de la colombophilie et c’est tant mieux. À Wasnes-au-Bac, petit village du Nord de la France au coeur d’un triangle Cambrai Valenciennes Douai, Jean-Yves Coupin en est la parfaite illustration. « En début de saison, j’avais l’intention de participer à un concours international, Narbonne ou Perpignan », confie ce Nordiste. Il a bien fait ! À la tête d’une mini-colonie, 6 deux ans et 10 yearlings en début de saison, il a finalement jeté son dévolu sur Narbonne et engagé toute sa colonie : « tout allait très bien jusque Brive fédéral où j’ai perdu mon meilleur 2 ans et j’ai aussi eu un blessé. Il me restait alors trois vieux et sept yearlings que j’ai mis à Narbonne. » Bilan : le premier prix national en vieux, deux prix sur trois dans les vieux avec deux top 100 (1er et 78e), cinq prix sur sept en yearlings. Un coup de maître pour un essai !

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L’histoire de la colonie
C’est en 1984, adolescent, que Jean-Yves Coupin découvre la colombophilie, en famille. En 1995, il s’installe avec son épouse à Wasnes-au-Bac et fait venir, en 1998, un pigeonnier Punt d’onze mètres, avec cinq compartiments. Le colombier a évolué, notamment au niveau des aérations. Licencié à la Revanche d’Hornaing après avoir côtoyé la société de Paillencourt, il a fait le choix d’être à la tête d’une colonie réduite en nombre : « c’est un choix pour que cela ne devienne pas une corvée. Quand tu travailles à côté, il faut que les pigeons restent un plaisir. »
Quelles origines ? « Depuis une dizaine d’années, cela vient essentiellement de l’As du ciel, du Maurice Casaert via...

La suite à lire dans La France colombophile n°307 du jeudi 17 août 2017.
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