Sapin Denis (Incourt) Candidat Brabant Wallon élections RFCB 2018-2024

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Candidature aux élections RFCB

1 -  Présentation

Denis Sapin, né en 1960, en couple avec Marianne, papa de deux enfants et quatre fois grand-père.  Menuisier depuis l'âge de 16 ans.  Colombophile depuis mes 20 ans. 

Mon attachement profond au sport colombophile existe depuis plus de 40 ans ; c'est ce qui m'a permis d'arriver à mon niveau actuel.

 

2 – Points à défendre

Vu le manque de candidature dans l'est du Brabant wallon, j'ai décidé de me présenter à cette élection.  Ma longue expérience me permettra, je crois, de défendre valablement les intérêts des colombophiles de notre province.

 

Que maintenir ? Que réformer ?

-        Vitesse et demi-fond : redéfinir les zones et prévoir des regroupements.

Le regroupement des sociétés doit se faire de manière plus égalitaire afin que chaque   colombophile puisse avoir sa chance.  Ce n'est pas le cas actuellement.

-        AWC : garder la situation actuelle, en alternance avec les concours nationaux.

-        EPR : conserver la situation actuelle.

-        Au niveau des lâchers, pour les concours de vitesse : imaginer une marge plus importante entre les différents lâchers, débuter les lâchers par les distances les plus longues et ce, afin d'éviter un trop grand mélange des pigeons. 

Pour les premiers concours des pigeonneaux, prévoir un lâcher seul.

-        Dans le même esprit, je souhaiterais que chaque province concentre ces lâchers sur sa propre ligne de vol.  Exemple : Anvers = la ligne du centre et non celle de l'est.

-        Par ailleurs, pour les concours nationaux, à partir de Bourges, les zones devraient être redéfinies de manière plus équitable.

-        Dans le cadre du bien-être animal, plus de contrôles devraient être effectués lors du transport de nos pigeons : soins, nourriture, boisson apportés aux pigeons ; conditions de transport et de « repos ».

-        Promouvoir notre sport.  A cette fin, on pourrait imaginer de mettre, à disposition du nouvel amateur, via le national ou des sponsors, une petite infrastructure lui permettant de débuter, sans devoir trop investir. 

            Par convention, après un délai à déterminer, si l'amateur arrête, il rend les biens prêtés.  Si, au contraire, il décide de poursuivre la colombophilie, il faudrait lui donner la possibilité d'acquérir les biens prêtés.

-        Il faudrait aussi faire à nouveau connaître le sport colombophile au-delà de la sphère des amateurs et des sites spécifiques : plus d'informations via les écoles, la presse écrite, les radios/tv, les réseaux sociaux, ...